L’historien guadeloupéen, Jules Ballet (1825-1904) indique la construction de deux forts : le fort Saint-Pierre sur les bords d’une rivière dénommée rivière du Vieux-Fort, Liénard de l’Olive installe sa demeure sur ses berges.

Du Plessis installe son habitation, à l’est de la Pointe, sur les bords de la rivière Petit-Fort, car une fortification y était installée à son embouchure. Le père Raymond Breton et deux autres ecclésiastiques s’installèrent dans une plantation et firent construire une chapelle avec un cimetière.

Une carte de Jean-Baptiste Du Tertre montre l’emplacement de ces deux forts. La distance entre les forts était de 900 mètres selon Du Tertre. Il ne subsiste pas de vestiges apparents de ces premières implantations [1].

Jean du Plessis décède en décembre 1635, laissant le commandement et le gouvernorat de l’île à Charles Liénard de l’Olive. Ce dernier s’attaque aux Indiens caraïbes pour prendre leurs femmes et voler leurs terres [2] [3].

Le site est initialement nommé Grand-Cul-de-Sac, puis Saint-Pierre, et enfin Sainte-Rose en 1790 (après la construction vers 1745 de l’église dédiée à Sainte-Rose de Lima [4]).

source : Wikipedia


[2L’Histoire de la Guadeloupe, L’Or des Îles / Centre régional de documentation pédagogique de l’académie de la Martinique / Assemblée Nationale ANOM Sénat La Guadeloupe dans l’histoire : La Guadeloupe physique, économique, agricole, commerciale, financière, politique et sociale, 1492-1900 – Oruno Lara Histoire de la Guadeloupe, Volume 1 – Auguste Lacour Histoire de l’esclavage dans les colonies françaises…

[3« Sainte-Rose de Guadeloupe », Maeva Raspail, Guadeloupe La Première, 6 août 2019.

[4« Sainte-Rose de Guadeloupe », Maeva Raspail, Guadeloupe La Première, 6 août 2019.

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